Je travaille depuis trois ans et demi chez Les Petits Débrouillards Ile-de-France en tant que Chargée des évènementiels et du développement des partenariats privés. J’ai intégrée cette association d’Education Populaire par choix et suite à mes études universitaires. Après 4 années de faculté de sciences, je ne souhaitais pas intégrer un cursus de recherche, mais plutôt m’orienter dans la vulgarisation des sciences. Après plusieurs stages dans des institutions de vulgarisation des sciences et mon diplôme en communication scientifique, j’ai rejoins Les Petits Débrouillards. La formation Sokori est, pour moi, une ouverture vers l’interculturel et l’international. La possibilité d’explorer dans des pays européens les rapports sciences et société est un « plus » dans mon évolution personnelle et professionnelle. Le projet est orienté vers un projet en particulier : « le séminaire d’exploration de controverses » mis en place au sein de l’ULB (Université Libre de Belgique). L’objet de notre « mission » est l’étude exploratoire de ces SEC mais aussi des autres « structures » qui permettent la diffusion des sciences en Belgique. Outre ces relations, je m’intéresse aussi à l’appréhension par le citoyen "Lambda "de cette manière de faire passer les sciences mais aussi de la manière dont il en tire parti et comment il l’exploite. Comment et pourquoi ce séminaire a-t-il été mis en place ? Est-ce en réponse à un besoin, à une demande ? Qui participe ? A quel niveau ? Quels sont les objectifs de ces controverses ? Les attentes ? Les perspectives ? Existe-t-il d’autres projets de ce type en Belgique ? Quels sont leurs fonctionnements ? Emilie GOUET
mardi 24 avril 2007
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